Roger Laubignat CABANES-ROULOTTES DE BERGERS DANS LA CHAÎNE DES PUYS (PUY-DE-DÔME)
Résumé Abandonnées dans la nature, exigües ou un peu plus confortables, délabrées ou mieux conservées, des cabanes de bergers nous parlent des artisans qui les construisirent, des hommes qui s'y abritèrent, de ce que fut la vie pastorale au pied des volcans de la chaîne des Puys au siècle passé. Elles s'adressent à notre imagination, elles touchent notre sensibilité. Abstract Left abandoned in the wild, cramped or a little more spacious inside, neglected or in good repair, the shepherd's caravans of the Chaîne des Puys conjure up visions of the craftsmen who built them, the workers who sheltered in them, all the vanished pastoral life at the foot of the lava domes of the Puy-de-Dôme department. They speak to our imagination, they touch our hearts.
Introduction L’activité pastorale dans la chaîne des Puys [1] a laissé quelques vestiges très anciens sur les cheires [2] envahies par les arbres et broussailles : ruines d’enclos pour le bétail, cabanes de bergers dont les pierres sont recouvertes de mousse. Les enclos mobiles faits de claies de bois et les cabanes de bergers sur roues, qui apparaissent déjà sur les enluminures du XVe siècle, persistent, peu modifiés, jusqu’aux années 1970. Leur utilisation était nécessaire sur les pâtures éloignées des villages ou les parcelles que l’on voulait fumer. Au milieu du XXe siècle, l’élevage ovin est important dans notre région. Chaque village possède un troupeau commun confié à la garde d’un berger et parcourant pendant l’été les pacages montagnards qui leur sont réservés. S’il ne reste rien des claies composant les parcs, quelques cabanes-roulottes ont survécu à l’abandon et aux intempéries. Nous vous proposons de les découvrir, en commençant par les plus anciennes que l’on peut dater approximativement des années 1930. Document No 1
Située au pied du Puy de Pourcharet, posée à même le sol, les roues et le timon [3] ayant disparu, cette cabane est la plus petite rencontrée : 1,80 m de long pour 0,95 m de large, elle n’a que 1,20 m de hauteur au faîtage, ce qui ne laisse place que pour un couchage sur lequel le berger ne peut se tenir qu’assis. L’entrée latérale, fermée par un simple panneau à glissières mesure 0,60 x 0,60 m. La toiture à deux pentes symétriques et les côtés habillés de zinc ont permis une assez bonne conservation des planches de bois de l’habitacle. Document No 2
Entre le village de Beauregard et le Puy de la Coquille, dans la forêt de conifères plantée vers 1975 sur les pacages à moutons, après la disparition du troupeau commun, l’ancienne cabane de Beauregard, gît « sur le ventre », après avoir été placée sur des piquets ( on en voit deux au premier plan ), pour la préserver…ou pour récupérer les roues et leur essieu. De dimensions légèrement supérieures à la précédente, 1,90 m de long, 1,03 m de large, 1,23 m de haut, son entrée ne fait que 0,46 m de large pour une hauteur de 0,63 m. Elle est semblable au premier document : même système de fermeture, même toiture, même revêtement total en zinc. La porte à disparu, mais ses glissières et butoirs latéraux sont encore visibles. Document No 3
Au pied du versant du Puy des Gouttes, près de la Fontaine des Pères qui alimentait des abreuvoirs pour les moutons du village des Fontêtes, on peut voir cette cabane abandonnée. Le timon posé au sol a pourri, ainsi que les roues dont l’extrémité de l’essieu est noyée dans l’herbe. Longueur :1,87 m ; largeur : 0,95 m ; hauteur : 1,36 m. L’entrée, centrée sur le côté gauche, est plus confortable que celles vues précédemment avec une largeur de 0,95 m pour une hauteur de 0,70 m. La fermeture sur glissière inférieure métallique est en deux panneaux dont l’un est percé d‘une petite ouverture ronde qui a été obturée par une planchette carrée. Le panneau de droite est muni d’un couvre-joint en fer. Le toit se prolonge, à l’arrière, par une avancée de 0.45 m abritant deux crochets métalliques servant à suspendre manteau, musette… et autres affaires du berger. À l’intérieur, une étagère étroite est fixée à la base du pignon arrière. La totalité de la cabane est protégée par de la tôle zinguée, sauf l’avancée qui n’a bénéficié que d’une plaque de fer en bien mauvais état. Document 4
Cette cabane, qui se trouve sur la cheire aujourd’hui boisée du Puy de Côme, appartenait au village des Roches. Elle a sans doute été fabriquée par le même artisan que celle du village voisin des Fontêtes que nous venons de voir, mais elle est en meilleur état. Légèrement plus longue et plus large, 1,96 x 1,02 m, un peu moins haute, 1,30 m, elle a conservé son timon pour attelage bovin portant le système de mise à l’horizontale de l’habitacle : une tige de fer plate verticale percée de trous avec chevilles pour bloquer le bon réglage. Ses roues de bois ferrées à seize rayons d’un assez grand diamètre, un mètre environ, lui permettaient de se déplacer malgré les irrégularités des chemins. Leurs moyeux sont renforcés de métal. L’ouverture centrée sur la paroi gauche fait 0,98 m de large par 0,58 m de haut. Elle est fermée par deux panneaux sur glissières de bois, la présence des roues excluant tout autre système. Un couvre-joint de fer et un crochet complètent cette fermeture. La seule ouverture pour aérer et éclairer
l’intérieur est découpée dans le partie gauche de la porte : circulaire, elle
n’a que 13 cm de diamètre. Sur la face arrière, deux forts crochets et une barre d’appui en bois servaient pour le transport de la niche du chien (qui devait plus souvent s’abriter sous la cabane.) Document No 5
À la lisière d’un bois près de Randanne, on aperçoit cette cabane appartenant à un éleveur du village d’Aurières. Elle fait partie de celles qui furent construites dans les années 1950-1960, plus spacieuses et plus confortables que les anciennes, avec une longueur de 2,05 m, une largeur de 1,54 m, et une hauteur de 1,70 m permettant de se tenir à peu près debout. La partie supérieure des roues ferrées traditionnelles avec rayons et moyeux en bois est incluse dans l’habitacle, lui donnant plus de largeur pour un même empattement. La porte, sur la moitié gauche de la partie frontale, a 1,20 m de haut et une largeur de 0,52 m. Sur le côté droit, une petite fenêtre de 0,20 par 0,48 m, avec volet dont subsistent les glissières, éclaire l’intérieur, et une étagère sur la face arrière, à l’abri d’une légère avancée du toit, permet de menus rangements ( outils pour positionner les claies du parc, etc.).
Document No 6a
On a plaisir à trouver sur un petit espace gazonné à l’entrée de Beauregard, la jolie cabane que ce village a eu l’heureuse idée de conserver et d’entretenir. Elle ressemble à celle que nous venons de voir, de par ses dimensions et sa conception : longueur : 2,04 m, largeur : 1,53 m, hauteur : 1,64 m. Seul, le toit légèrement dissymétrique est recouvert de tôle. Même fenêtre vitrée avec volet à glissière sur le côté droit, même étagère extérieure au pignon arrière, même porte de 1,33 m par 0,68 m sur la moitié gauche de la face avant. Les roues de fer à rayons ont un diamètre de 0,80 m, et le timon, renforcé de plaques de fer est adapté pour être attelé à un tracteur dont l’usage se répand à cette époque dans nos campagnes. Le poids plus important des cabanes de ce type rend leur déplacement plus difficile avec un attelage de vaches. L’absence de limonières [4] sur les cabanes répertoriées s’explique par les difficultés du terrain et la rareté des chevaux sur les petites exploitations de demi-montagne. Document No 6b
L’aménagement intérieur de cette cabane « habitable » mérite qu’on s’y attarde un peu. À droite se trouve la couchette de 2 m par 0,78 m bordée d’une planche et garnie de paille. Elle est à 0,40 m au-dessus du plancher. Un coffre, avec couvercle-abattant de 0,70 m par 0,48 m, occupe l’espace restant à la tête du lit. Un coffre-banc de 1,04 m de long par 0,30 m de large, à droite, cache, comme le fait la couchette, la partie supérieure des roues. Cet aménagement laisse un espace de « circulation » de 0,40 m de large face à la porte d’accès. Document No 7
Située sur une propriété privée au Petit Chambois, la cabane ci-dessus a des dimensions du même ordre que la précédente ( il n’a pas été possible de la mesurer avec précision ), elle présente une toiture dissymétrique qui permet de donner plus de hauteur à la porte d’entrée, non plus rectangulaire mais trapézoïdale, qui occupe près de la moitié de la face avant. Toit et parois sont habillés de tôle zinguée. Par-dessus la tôle, ces parois, hormis la porte et la face avant, sont isolées par un bardage de planches verticales. Cette isolation renforcée n’a été vue sur aucune autre cabane. Ces abris, qui ne sont pas utilisés pendant la mauvaise saison, faits de planches de bois sont un peu isolés par ce matériau. Par contre, le revêtement de tôle, qui les protège efficacement de la pluie, emmagasine une chaleur inconfortable lorsqu’il est exposé au soleil d’été. Les cabanes que l’on peut voir sur les photos des années 1920 ou 1930 avaient leur toiture isolée par une épaisseur de paille ou autres végétaux, fixée par des lattes de bois, ce qui constituait une excellente protection. Des exemples très intéressants figurent sur le site pierreseche.com : « La roulotte de berger des cartes postales et photographies anciennes », en particulier les documents n° 18 à 21. On peut donc se demander pourquoi les cabanes les plus récentes n’ont pas une meilleure isolation de leur toiture. Les roues métalliques massives à rayons ainsi que l’essieu pourraient provenir d’une récupération sur une ancienne batteuse [5]. Document No 8
Sur les hauteurs dominant le village de Récoleine, dans un paysage de prés et d’arbres, cette belle cabane, bien conservée, fait face aux vents d’Ouest. De bonnes dimensions, 2,05 m de long, 1,45 m de large, 1,70 m de haut, elle présente sur l’avant une porte rectangulaire d’une largeur confortable, 0,68 m, soit la moitié de la façade, mais dont la hauteur ne dépasse pas 1,08 m. La toiture, presque symétrique, assez débordante, est recouverte sur chaque pente de trois tôles dont les jointures sont masquées par une sorte de liteau métallique. Les parois sont entièrement habillées de plaques de zinc. Celle de droite est percée d’une ouverture vitrée de 0,42 x 0,20 m, avec volet coulissant sur glissières. L’aménagement intérieur est identique à celui du document 6, et la porte, enlevée de ses gonds, est posée sur le plancher. Cependant, un détail en fait l’originalité : le coffre à couvercle se trouvant à la tête du couchage présente, à l’arrière, une ouverture de 0,40 x 0,35 m fermée par une petite porte, disparue. Ce coffre serait une niche pour le chien, mais ses dimensions laissent penser, plus raisonnablement, qu’il s’agit d’une commodité pour y accéder de l’extérieur ( le berger pouvait ranger là des outils, des médicaments pour les moutons… crésyl contre le piétin, etc.). Un timon métallique massif, avec crochet pour attelage à un tracteur, est maintenu horizontal par une puissante béquille de fer, et les roues, munies de bandages de caoutchouc, ont de larges rayons plats et sur le bouton l’inscription : « Renault Billancourt ». Document No 9
Cette cabane abritait le berger du troupeau du village de Ternant dont on aperçoit quelques maisons en contrebas à l’arrière-plan. Longue de 2,06 m, assez étroite avec 1,13 m, ses roues étant à l’extérieur de la caisse, elle à une hauteur de 1,62 m au faîtage. Le toit, très dissymétrique, donne au côté où s’ouvre la porte 0,40 m de hauteur supplémentaire par rapport à celui qui lui fait face. Il est recouvert d’une tôle rafistolée, en mauvais état. Les parois sont constituées de planches verticales moulurées à la manière d’un lambris et peintes en marron. Une porte étroite de 1,54 m de haut par 0,55 m de large ainsi qu’une fenêtre carrée de 0,30 m s’ouvrent sur le côté gauche de l’habitacle. Une autre fenêtre, à peine plus grande, s’ouvre sur la porte elle-même. Ces fenêtres comportent des volets-abattants en fer avec réglage d’ouverture par chaînettes d’une facture très soignée, probablement l’œuvre d’un forgeron renommé qui habitait le village dans les années 1950. Il est possible qu’il ait fabriqué également les superbes roues à douze rayons de 1,04 de diamètre. Le timon de bois, renforcé, a été adapté pour tracteur. On aperçoit la pièce fixée sous la caisse et traversée par une tige métallique verticale, solidaire du timon, percée de trous, système qui grâce à des chevilles permet le réglage à l’horizontale de la cabane, une fois le timon posé à terre. 10 - Document No 10
Nichée à 1.100 m d’altitude, dans une légère dépression entre le Petit Puy de Dôme et le Traversin, cette ancienne cabane du troupeau d’Orcines paraît bien petite dans le vaste paysage des volcans. Il est vrai qu’elle a des dimensions modestes : 1,98 m de long, 1,33 m de large , et une hauteur de 1,76 m. Les deux pentes de sa toiture de tôle ondulée, revêtement particulièrement bruyant sous la pluie, sont coiffées d’une faîtière de même nature très couvrante. Les planches des parois portent les traces d’une peinture marron. Le côté droit possède une petite fenêtre avec vitre coulissante et volet-abattant métallique. Sur la face avant s’ouvre une porte de 0,50 m de largeur et 1,53 de hauteur. Elle a la particularité d’être coupée horizontalement dans sa partie supérieure pour former une sorte de petit volet. Un tracteur étant indispensable pour l’installer à cet endroit, elle a été équipée d’un timon de fer adéquat (auparavant, elle devait se trouver dans les pacages plus ou moins plats au pied des puys). Ses roues sont des roues d’automobile, avec pneus et chambre à air en piteux état. Humour ou irrespect, une pancarte criarde peut choquer le promeneur amoureux de belle nature. Il s’agit du permis de construire pour le confortable chalet sur plots de 40 m2, tout proche, qui va être utilisé pour la première fois de mai à octobre 2016. L’importance croissante de l’estive [6] d’Orcines, avec un troupeau de plus de 2000 moutons, nécessite depuis plusieurs années la présence de deux bergers (parfois un couple), d’où la construction d’une grande cabane que nous allons voir avec le document suivant, et maintenant d’un chalet de bois préfabriqué. Que va devenir la vieille cabane ? Les bergers en charge de l’actuelle estive comptent y loger quelques poules pour avoir des œufs frais ! Document No 11
Nous sommes bien loin de nos cabanes traditionnelles avec celle-ci, sauvée de la casse par un éleveur, utilisée pour l’estive d’Orcines des années 1992 à 2015. Très imposante, elle mesure 6 m de long par 3 m de large. Construite par une entreprise de La Baraque sur le châssis d’une remorque de matériel militaire, elle est équipée à l’arrière de puissantes roues avec pneus agricoles et, à l’avant, de deux étais métalliques, de part et d’autre du triangle d’attelage, pour en assurer l’horizontalité. La toiture est constituée de bacs en tôle d’acier et les parois de belles planches verticales. À noter que la porte, seule, est faite de planches horizontales. Quatre fenêtres éclairent l’intérieur : une sur chaque face-pignon, une côté entrée, une sur le côté opposé. Fenêtres, parois et plafond rampant sont parfaitement isolés ainsi que le plancher. La cabane était chauffée à l’aide d’un appareil alimenté par une bouteille de gaz ou d’un poêle à bois, moins tributaire de l’approvisionnement. L’intérieur comprend un séjour-cuisine, deux chambres, un w-c, une douche. Il a été habité, voici quelques années, par un couple de bergers et leur jeune enfant. Selon l’emplacement de la cabane, un escalier mobile de quatre à cinq marches était nécessaire pour accéder à la porte d’entrée.
Conclusion Les pages ci-dessus portent uniquement sur les cabanes-roulottes de bergers, encore existantes, visibles dans la chaîne des Puys. Aucune d’elles n’est utilisée aujourd’hui. Les photos ont toutes été réalisées durant l’automne 2015 et le printemps 2016. Certaines cabanes ont été détruites parce qu’inutilisées et encombrantes, quelques rares sommeillent, ignorées au fond d’une grange ou autre local. Elles sont essentiellement de deux types, si l’on excepte la dernière datant de 1990. - Les cabanes d’avant les années 1950 comportant un simple couchage sur lequel le berger ne peut se tenir que couché ou assis. Leur porte latérale est à glissière, à cause des roues et le timon prévu pour un attelage bovin. - Celles d’après, plus spacieuses, plus confortables, plus lourdes aussi. Elles possèdent une hauteur qui permet de se tenir presque debout, un espace à côté de la couchette, un coffre-banc, un coffre de rangement. Leur porte, le plus souvent axiale, offre un accès plus facile. Il est bien dommage que peu de villages se soient intéressés à la protection, à l’entretien, à la rénovation de ces témoins du passé qui, au-delà de la nostalgie qu’ils suscitent, nous font rêver de grands espaces, d’une vie paisible proche des animaux et de la nature.
NOTES [1] En Auvergne, les montagnes d'origine volcanique sont appelées des « puys ». La chaîne des Puys ou chaîne des Dômes compte 80 volcans dont le Puy de Dôme (qui a donné son nom au département du Puy-de-Dôme.) [2] Le terme géographique dialectal de « cheire » désigne une coulée volcanique présentant une surface inégale et rocheuse. [3] Pièce de bois de 2,50 à 3 m de longueur, solidaire de la cabane (ou autre véhicule), attelée à une paire de bœufs ou de vaches. [4] Ensemble de deux limons, ou brancards, entre lesquels est attelé un cheval. [5] Machine, entraînée par un moteur indépendant, qui sert à battre les céréales pour en extraire le grain. Sur quatre roues, la batteuse était déplacée d'une exploitation à l'autre.
[6]
Pâturage d'été en montagne. Ce terme désigne
également la période pendant laquelle les troupeaux de moutons ou de vaches
sont sur les pâturages d'altitude (en moyenne du 15 mai au 15 octobre pour notre
région). © CERAV, Paris Référence à citer / To be referenced as : Roger Laubignat Cabanes-roulottes de bergers dans la chaîne des Puys (Puy-de-Dôme) (Shepherd's caravans in the Chaîne des Puys, Puy-de-Dôme) L'architecture vernaculaire (en ligne), tome 40-41(2016-2017) http://www.pierreseche.com/AV_2016_laubignat.htm 3 juin 2016 L’auteur : Roger Laubignat a rédigé cet article à partir des recherches qu'il a faites pour le compte du Comité Histoire et Patrimoine de la commune de Chanat-la-Mouteyre (Puy-de-Dôme).
Série : La roulotte de berger
I -
La roulotte de berger d'après des cartes postales et photographies anciennes
II -
La roulotte de berger d'après des enluminures de la fin du Moyen
Âge
III -
La roulotte de berger d'après des spécimens subsistants
IV - Cabane à roues tirée par une paire de bœufs à Saint-Léger-du-Malzieu
(Lozère) dans les années 1950
V -
Berger et sa cabane à roues à Saugues (Haute-Loire) dans les années 1950
VI - Un fabricant
de roulottes de berger : Vasseur X., à Sancourt (Somme)
VII -
Cabanes-roulottes de bergers dans la chaîne des Puys (Puy-de-Dôme)
VIII -
Cabane-roulotte de Ternant (à Orcines, Puy-de-Dôme)
IX - La roulotte de berger vue par les artistes
X - Vie et
logement du berger à Chanat-la-Mouteyre et alentour dans le
Puy-de-Dôme au XXe siècle
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