L'ÉVOLUTION DE LA CABANE CAMARGUAISE AU XXe SIÈCLE
|
Carte de teinte bleu, à bordure blancheâtre, tirée d'un bloc de cartes postales (années 1920). Il s'agit de la réédition d'une carte noir et blanc, sans bordure, des années 1900. |
Document No 2
Derrière les trois gardians en tenue de travail très soignée (chemise, gilet sans manches, chapeau, trident porté par deux d'entre eux), on devine les deux cabanes juxtaposées de la vue précédente mais l'occultation des façades, le manque de netteté de l'image ne permettent pas d'observations supplémentaires. On peut simplement dire que la présence des trois cavaliers (deux gardians et leur chef) renforce la perception des cabanes comme logements des bouviers des manades.
|
Carte postale des années 1900. |
Document No 3
La légende de cette carte postale noir et blanc des années 1950 (bords dentelés) parle de « cabanes de gardian » et de « chevaux en liberté » mais on est en droit de se demander si l'un et l'autre qualificatifs sont justifiés.
On ne décèle en effet aucune trace d'occupation humaine dans la cabane ni autour d'elle. L'enduit du pignon en dur s'écaille et tombe par plaques, la végétation envahit les abords immédiats.
Ensuite, les chevaux font obligatoirement partie d'une manade et broutent sur des terrains appartenant à celle-ci. S'ils sont « en liberté », il doit s'agir d'une liberté « surveillée » en quelque sorte. Au passage, on remarquera que l'une des bêtes ne correspond pas du tout aux canons du cheval camarguais : les blanches cavales sont suivies par une haridelle de couleur (il faut savoir que le poulain naît noir, alezan ou gris foncé, ne devenant blanc qu'à l'âge de cinq ans).
Par sa taille et ses caractéristiques, cette cabane ressemble fortement à la grande cabane du mas de l'Amarée (cf. partie II) :
- les versants de toiture font légèrement saillie par rapport au pignon-façade,
- l'entrée est décalée à gauche, une cheminée intérieure s'adossant à la partie droite du pignon,
- une chape de plâtre ainsi qu'une ligne de tuiles creuses règnent sur le faîtage,
- le bout supérieur du chevron de croupe se termine par une croix,
- le gouttereau de droite comporte un fenestron.
À la pointe du pignon, perce le bout de la panne faîtière de la toiture. Sur les versants s'étagent jusqu'à neuf rangées de javelles de sagne.
Hormis l'enduit qui s'écaille sur le pignon (3), le bâtiment était encore en bon état lors du passage du photographe.
(3) L'enduit était généralement refait tous les dix ans.
|
Carte postale photographique des années 1950 (bords dentelés) (existe également en version colorisée). |
Document No 4
La cabane classique qui occupe la presque totalité de cette carte postale des années 1950 est vraisemblablement la même que celle de la carte précédente : pignon dont l'enduit s'écaille, même nombre de rangées de javelles de sagne (neuf avec la double épaisseur en rive) par versant de toiture, etc.
Le seul intérêt de cette nouvelle vue est de donner une idée de la taille imposante du bâtiment par comparaison au couple perché sur le cheval.
Carte postale photographique des années 1950 (dentelures et cachet de la poste du 17-8-9-1951). |
Document No 5
Autre cabane classique, très ressemblante à la précédente mais distincte : il n'y a que huit rangées de manons de sagne (en comptant la double rangée de javelles en rive) et une porte en bois occupe l'embrasure extérieure de l'entrée. L'édifice ne paie pas de mine (le pignon-façade et le gouttereau de droite ont besoin d'un bon coup de badigeon blanc) mais la toiture semble en bon état.
Dans le triangle de la façade, au-dessus de la porte, on distingue l’inscription Vibre : il s’agit de la cabano dou Vibre (la « cabane du Castor »), du nom du cheval du marquis de Baroncelli dans les années 1930 (4). Cette cabane se trouve à l'embouchure du Petit Rhône.
Cette carte postale a servi à illustrer quelque journal ou revue si l'on en juge d'après la légende et les indications manuscrites (3 col - cliché 1ère page) apposées au dos : « Dans l'aride plaine de la Camargue tannée par le soleil, balayée par le mistral, la cabane d'un gardian jette çà et là une note joyeuse et rustique. Parfois, sur le seuil, apparaît une fille de Provence, toute gracieuse dans son costume régional ». Dans le registre du cliché, il est difficile de faire mieux. Sur la vue, le graphiste a souligné au crayon la crête de l'édifice, la rive de la toiture au-dessus du rampant, et le châle de la charmante personne en tenue d'Arlésienne.
Carte postale photographique des années 1950 (dentelures, non représentées ici). |
Une curiosité de cette cabane est la porte extérieure en bois, dont la partie supérieure est ajourée d'une façon qui tranche avec la rusticité du bâtiment. Les deux ajours sont bordés de fines colonnettes portant deux arcs en forme de bulbe qui donnent à l'ensemble un cachet oriental. |
|
(4) L’intérieur de la cabano dou Vibre est décrit dans la section « Intérieurs de cabanes ».
Document No 6
On retrouve notre cabane et sa porte remarquable dans une autre carte postale en noir et blanc dont il est difficile de dire si elle est antérieure ou postérieure. L'intérêt du document vient surtout du fait qu'on y voit la porte à colonnettes selon un angle moins rasant et donc sans trop de déformation. La clôture de piquets de bois et de barbelés est toujours là ainsi que le portillon latéral mais on découvre l'existence d'un autre portillon en face du pignon. Enfin, la petite annexe tout en sagne avec sa toiture à un pan se dévoile à l'arrière de la cabane.
|
Carte postale photographique des années 1950 ou 1960. |
Document No 7
À l'arrière-plan de la troupe de chevaux en mouvement, on aperçoit une cabane de type classique, dont la couverture de chaume a ses rampants qui saillent par rapport au pignon. Sur celui-ci sont visibles les bouts de la panne faîtière et des pannes intermédiaires. Le chevron axial de coupe se termine en pointe.
Un fragment de la partie avant de la chape de plâtre s'est détaché. Les couches successives de javelles sont d'une épaisseur moindre que de coutume.
Carte postale en couleur des années 1990. |
Documents Nos 8, 9, 10 et 11
L'intérêt architectural de cette photo gît dans la présence, bien visible, d'une dalle de béton servant de support à une cabane de facture classique toute neuve. Alors que la cabane tout en sagne du début du XXe siècle n'avait pas de fondation (les piquets périphériques et les poteaux axiaux porteurs étant simplement enfoncés dans le sol limoneux) et que celle à pignon en maçonnerie n'était que très légèrement fondée, cette réplique moderne, entièrement en dur et d'un poids conséquent, a été posée sur un socle de béton, solution qui lui assure non seulement une stabilité à toute épreuve mais aussi une protection contre les remontées d'humidité. C'est, à notre connaissance, le seul cliché où ce détail apparaît.
Carte postale photographique des années 1950-1960. Un autre spécimen de cette carte a voyagé en 1959. |
Sans nous appesantir sur le couple romantique devisant gaiement sur le pontet en bois (sur des cartes moins récentes, ils auraient symbolisé Mireille et Vincent, les amoureux du célèbre poème de Mistral, Mirèio) (5), constatons que la cabane visible à droite est la même que celle de la photo artistique précédente (même nombre de rangées de sagne), identification qui est corroborée par la concordance entre les deux mâts barraudés.
Quelques détails architecturaux méritent d'être relevés :
- la baie ménagée dans le gouttereau – lequel est encore trop peu élevé – se solde par l'échancrure de la rive de sagne ;
- le versant de sagne vient recouvrir le rampant du pignon (ce qui ne sera plus le cas lorsque la cabane de gardian se muera en véritable maison ou villa).
(5) Dans Mirèio, Vincent est un simple vannier, non un bouvier, profession qui est celle du méchant rival (« Laissa Vincent per mòrt d'un marrit còp de ficheiron que li dona en traite »).
Carte postale des années 1950-1960. |
Cette troisième photo vient compléter utilement les deux précédentes : on a affaire à la même cabane, mais vue depuis l'avant ; même nombre de rangées de sagne, même fenestron échancrant la rive du versant, et surtout, même mât barraudé.
Carte postale photographique des années 1950-1960. |
Une quatrième vue, pour la route... La végétation penche sous le vent.
Carte postale des années 1950-1960. |
Document No 12
Incontestablement, on a affaire ici à la plus petite des cabanes classiques ayant des versants faisant saillie par rapport au pignon-façade : le nombre de rangées de roseau n'est que de cinq et l'élévation de l'entrée occupe la moitié de la hauteur du pignon-façade.
On remarque que l'entrée est légèrement décalée vers la droite et non vers la gauche, à la différence des autres cabanes.
Carte postale photographique des années 1950 (date manuscrite du 13-12-1953 au dos). Elle a fait de notre part l'objet d'un recadrage par découpe de ses bords. |
Document No 13
La même cabane mais dans un cadrage qui dévoile ses alentours immédiats, en particulier son voisinage avec une autre cabane de type classique mais plus large et plus haute qu'elle : on compte sept rangées de sagne. Les rampants de la toiture saillent légèrement par rappport au nu du pignon, l'entrée en pignon-façade est décalée vers la gauche et elle est dotée d'un volet qui se rabat sur la droite.
Carte postale ayant voyagé en 1953. |
Documents No 14 et 15
La photo et la carte postale qui suivent nous font découvrir une autre cabane à couverture de sagne aux rampants en saillie par rapport au nu du pignon. Elle a subi une transformation peu commune, voire unique : la surélévation d'un versant de toiture afin d'obtenir un appentis latéral et une deuxième porte d'entrée. En matière d'extension, on s'attendrait plutôt à l'ajout d'une travée devant le pignon existant, solution plus pratique et efficace qu'une surélévation ne donnant qu'un gain de surface minime.
Photo en couleur du début des années 1970. Source : photo de couverture du No 73, « d'Avignon à la Camargue », de la série Découvrir la France, 20 août 1973. |
La carte postale nous fait voir de plus près cette extension latérale et son articulation avec le versant d'origine : le chaume de sagne ne s'avance pas au-dessus de l'entrée, il est arrêté par un bourrelet en plâtre.
Carte postale en couleur des années 1970. |
2 - Couverture s'arrêtant au ras du pignon
Documents Nos 16 et 17
À la vue des deux cartes postales qui suivent, on est en droit d'être interloqué : même cabane, même scène, mêmes personnages, mais ciel différent. Se pourrait-il que l'un de ces ciels de nuages – voire les deux – ne soient pas authentiques ? En regardant de près chaque carte, on remarque que les frondaisons des tamaris ont été maladroitement découpées, ainsi que le haut de la cabane et la ligne d'horizon à droite.
À cette petite liberté prise avec la réalité, s'ajoute l'impression laissée par la morphologie même de la cabane : on dirait la copie conforme de la petite cabane du mas de Cacharel, il y a même un crâne de taureau accroché au-dessus de l'entrée. Les abords sont identiques : la cabane se dresse à côté d'une étendue d'eau franchie par une passerelle en bois. La seule différence notable est ce large auvent couvert de sagne et porté par deux poteaux en avant du pignon, aménagement qui n'apparaît sur aucune des cartes postales des cabanes de Cacharel. Par ailleurs, le bâtiment est isolé, il n'y a pas de grande cabane à sa droite comme à Cacharel. Aurait-on là un montage fait en superposant un cliché, gaillardement charcuté, du mas de Cacharel, sur des fonds de ciels nuageux ?
|
Carte postale photgraphique des années 1950 (bords dentelés, non représentés ici) (existe également en version colorisée). |
Carte postale colorisée des années 1950-1960 (a circulé en 1962). |
Document No 18
On retrouve ici le premier des deux précédents montages, avec en prime un entourage de phylactères où s'inscrivent les divers éléments de la panoplie du gardian : le ficheiroun (la pique à trois dents) et le seden (la corde de crin) (de chaque côté), la selle et les étriers (dans l'angle inférieur gauche), le redoun (la sonnaille du dompteur, le taureau en chef), le fèrri (le fer à marquer) et le mourrau (planchette de sevrage en demi-lune) (dans l'angle inférieur droit). Quant aux phylactères décoratifs, on serait tenté, avec un peu d'imagination, d'y voir le tricouso, ce bas de toile dont le gardian s'enroulait les mollets pour se protéger de l'humidité.
Carte postale des années 1950 (bord dentelés, non représentés ici). |
Document No 19
Cette petite cabane vient manifestement d'être construite, son pignon blanchâtre est immaculé et la haute échelle encore en place montre que quelqu'un a travaillé à la souche de cheminée. La cabane et ses abords ressemblent curieusement au spectacle des deux cartes précédentes, sauf que l'on ne décèle aucun signe de découpage ni de montage. Le ciel est authentique, les bâtiments qui se dessinent à l'horizon sont d'origine. Aurait-on là l'étape initiale de la construction du mas de Denys Colomb de Daunant, à savoir la construction de la plus petite des deux cabanes ? Il semble bien que oui : les bâtiments blancs à l'arrière-plan sont les mêmes que ceux visibles sur une vue aérienne des cabanes de Cacharel, reproduite à la section VI de la présente étude.
Carte postale des années 1950 (bords dentelés, supprimés ici). |
Document No 20
Cette carte postale en couleur des années 1970 est intéressante dans la mesure où elle montre une cabane de gardian qui a fait l'objet d'un agrandissement en pignon (6). On distingue en effet, dans le versant de chaume, la jointure entre le rampant de l'ancien pignon et le prolongement de la couverture. Mais surtout, la souche de cheminée qui était accolée contre la paroi intérieure du pignon, se retrouve par la force des choses, reléguée plusieurs mètres en arrière du nouveau pignon. L'entrée occupe la partie gauche du pignon rajouté tandis que la partie de droite, désormais libérée des contraintes d'une cheminée adossée, est percée d'un fenestron.
(6) Un autre cas d'extension en pignon a été constaté à la grande cabane de Cacharel (cf. Partie VI, Les « cabanes de Cacharel » aux Saintes-Maries-de-la-Mer).
|
Carte postale
en couleurs des années 1980 (tampon de la poste d'Aimargues dans le Gard daté du 28-9 1983). |
3 - Rampants surélevés par rapport au pignon
Documents Nos 21 et 22
La première carte postale, dont la bordure blanche signe les années 1940, montre une cabane tout à fait classique par son architecture et sa morphologie. Le chaume de couverture s'arrête contre les rampants du pignon, lesquels sont protégés par ce qui semble être une file de carreaux céramiques. L'entrée est apparemment fermée par un volet en bois
La cabane est accompagnée d'une petite loge entièrement végétale, au toit en bâtière, abritant une citerne à eau douce.
|
Carte postale des années 1940 (bordure blanche). |
La deuxième carte postale, qui remonte aux années 1950 (bords dentelés), représente apparemment la même cabane et son annexe mais les abords sont différents : pas de jeunes tamaris sur le côté, pas de barrière en bois visible. À l'entrée, le volet en bois, barré d'un grand Z, est replié, découvrant une porte qui vitrée dans sa moitié supérieure.
Si cette dernière carte est lègèrement postérieure à la précédente, il est difficile de dire laquelle des deux vues est la plus récente.
Il se pourrait bien que notre cabane soit celle qui se trouve isolée entre l'étang des Launes et le canal des Launes aux Saintes-Maries-de-la-Mer, en arrière des cabanes du front de mer (voir section X).
|
Carte postale des années 1950 (bords dentelés). |
Document No 23
Immortalisée par cette carte postale des années 1990, cette cabane de type classique présente quelques caractéristiques qui méritent d'être mentionnées :
- le rampant du pignon est légèrement surélevé par rapport à la couverture de roseau et, de plus, revêtu d'une ligne de tuiles canal
; la jointure entre le chaume et le pignon est recouverte d'une bande d'enduit de plâtre ;
- le pignon est percé par un oculus, caractéristique dont il n'y a pas d'autre exemple
; le gouttereau visibile présente pas moins de trois fenestrons ;
- la souche de cheminée a été munie d'un couvercle en ciment monté sur quatre petites piles.
Le chaume de couverture a l'air passablement usé et élimé, les ressauts formés par les couches successives sont estompés. Le bâtiment et ses abords immédiats ne sont pas sans évoquer la cabane précédente. Aurions-nous affaire à une réfection récente qui n'aurait concerné que le pignon, la cheminée et la chape de plâtre ?
|
Carte postale en couleur des années 1990. |
Document Nos 24 et 25
La cabane de Boucanet se trouvait au Grau-du-Roi, dans le Gard, sur la rive droite.
D'après la première carte postale, c'est une cabane de facture classique, mais dont le pignon a ses rampants surhaussés légèrement, une caractéristique que l'on rencontre également sur les « maisons de gardians » des années 1970.
Elle possède un auvent qui repose sur une lambourde fixée dans le triangle du pignon et sur une panne portée par deux potelets à l'avant.
Chaque gouttereau est percé d'une petite fenêtre à volets qui échancre la rive du versant.
En dehors du cheval qui se repose et des personnes qui devisent prudemment à l'ombre du pin parasol, quelques éléments de confort extérieurs attestent que la bâtisse est occupée, au moins occasionnellement : le banc adossé à la paroi de droite du pignon ainsi qu'une table et son banc disposés contre le gouttereau.
|
Carte postale photographique des années 1950 (bords dentelés) (a circulé en 1959). |
La deuxième carte n'apporte guère plus de renseignements architecturaux en dehors du fait que le gouttereau de gauche est identique au gouttereau de droite. Son intérêt réside ailleurs : une inscription au stylo à bille donnant des précisions sur la date d'acquistion de la carte, le nom et la localisation de la cabane et ce qu'on peut vraisemblablement estimer être les propriétaires et utilisateurs de celle-ci, deux commerçants du Grau-du-Roi ayant une activité de gardians amateurs (voir la légende ci-dessous).
|
Carte des années 1950-1960 (elle porte au
dos la date manuscrite 4.7.57 -). |
4 - Le pignon s'affirme
La date des cartes postales étudiées dans cette 7e partie, montre que le surhaussement des rampants du pignon dans les cabanes est un trait tardif, apparu dans les années 1940-1950, tout en coexistant, à la même époque, avec les deux autres types d'articulation pignon/couverture observés.
Document No 26
S'il a connu tardivement une certaine faveur dans les cabanes, ce trait n'est pas pour autant inédit puisqu'il est attesté dans les pignons des maisons de pêcheurs du début du XXe siècle au village des Saintes-Maries-de-la-Mer (voir partie V et carte ci-dessous).
|
Carte postale colorisée de la première décennie du XXe siècle. |
Cet affranchissement du pignon par rapport à la couverture allait s'accentuer dans les décennies suivantes avec les « cabanes hôtelières » et les « maisons de gardians », mais ceci est une autre histoire.
À SUIVRE
Pour imprimer, passer en mode paysage
To print, use landscape mode
© CERAV
Le 30 octobre 2008 / October 30th, 2008 - Complété le 2 novembre 2008 - 17 janvier 2009 - 7 février 2009 - 18 avril 2009 - 13 août 2009 - 16 mars 2010 - 24 mars 2021 - 11 mai 1921 - 15 août 2021 - 16 août 2021 - 19 février 2022
- 24 août 2022 - 23 janvier 2023
Augmented on November 2nd, 2008 - January 17th, 2009 - February 7th, 2009 - April 18th, 2009 - August 13th, 2009 - March 16th, 2010 - March 20th, 2021 - May 11th, 2021 - August 15th, 2021 - August 16th, 2021 - February 19th, 2022 - August 24th, 2022 - January 23rd, 2023
Référence à citer / To be referenced as :
Christian Lassure
L'évolution de la cabane camarguaise au XXe siècle d'après des cartes postales et photos anciennes (The evolution of the Camarguaise hut in the 20th century as shown in old postcards and photos)
VII - Cabanes classiques (Classical huts)
http://www.pierreseche.com/cabanes_classiques.htm
30 octobre 2008
Introduction : Le gardian et ses métamorphoses
I - Cabanes entièrement en roseau des années 1900
II - Le mas de l'Amarée et ses deux cabanes aux Saintes-Maries-de-la-Mer
III - Les cabanes du premier mas du Simbèu aux Saintes-Maries-de-la-Mer
IV - Les cabanes du « deuxième mas du Simbèu » aux Saintes-Maries-de-la-Mer
V - Cabanes et maisons de pêcheurs en Camargue
VI - Les « Cabanes de Cacharel » aux Saintes-Maries-de-la-Mer
VII - Cabanes classiques
IX - Van Gogh et les chaumières saintines
X - Cabanes du front de mer aux Saintes-Maries-de-la-Mer
XI - Cabanes hôtelières et maisons à la gardiane
XII - Vocabulaire architectural de la chaumière camarguaise
XIII - Les auvents dans la cabane de gardian
XIV - Les extensions de la cabane de gardian
XV - Cabanes représentées sur le plan de la Camargue de 1584