1 - Message de Pol-Albert Dormal en date du 11 juillet 2011 Objet : question à propos des boutisses parpaignes et trous de boulins Réponse en date du 16 juillet 2011 Cher Pol-Albert Dormal, 2 - Message de S. de B. en date du 3 novembre 2011 Je suis d`Hollande, juste retournée d´Uzès. Je suis tres interessé dans les capitelles. Est-ce qu´il existe une carte avec tous le capitelles d´Uzège ? Ou peut-être un petit livre avec des photos ? 3 - Message de Jérôme Pailler en date du 5 septembre 2011 Objet : recherche d'informations 4 - Message de Magali Martel en date du 1er mars 2012 Objet : cabane de gardian Réponse, en date du X mars 2012 Bonjour, 5 - Message de Cameron Cross en date du 27 avril 2012, reçu par l'intermédiaire de Thomas Lipps Subject: question about stonework Dear Thomas, On a recent visit to Provence, we discovered a "borie village" that had something I had never seen before: vertical stones set into stone walls with holes that line up with other stones of the same kind. Hard to explain, but perhaps the picture attached will illustrate better. We were all puzzled as to the purpose of the stones. I found your website and wondered if you could shed any light on the subject. Thanks in advance for considering this question. Let me know if you'd like any more information. Best regards, Cameron Cross
Christian, Excuse my writing in English, but can you tell us anything about this? Thomas Lipps P.S.: good work on the website, I haven't visited for a while, was interested to see the various bories. Cameron, you should check this out: http://www.pierreseche.com/ Réponse en date du 1er mai 2012 Dear Thomas Lipps, 6 - Message de Jean Dubuisson en date du 19 juin 2012 En consultant votre site j'ai vu que vous mentionniez dans les sources de la page de la Grande Cabane n° 52 , un périodique dont le titre est l'Echo des Dentelles. Savez vous où je pourrais consulter ces périodiques ? D'avance merci, Jean Dubuisson 7 - Message d'Agnès Salamand Aguirre en date du 17 juillet 2012 Bonjour, Je me permets de vous adresser ce message car dans mes premières recherches sur les aiguiers en pierres sèches, vous semblez être le spécialiste. Mes parents possèdent sur leur terrain situé dans la commune de Puyricard un aiguier en pierre sèche qui vient d'être vandalisé par des enfants qui se promenaient dans la colline. Jusqu'à présent nous n'avions pas pensé qu'il s'agissait d'un élément original au milieu de toutes nos restanques. À présent, mes parents sont très tristes qu'il soit endommagé et je voudrais le faire restaurer. Par ailleurs les premières recherches effectuées m'ont passionnées sur la question, j'ai donc un peu exploré cet ouvrage dont je n'osait m'approcher enfant car mes parents avaient peur qu'il ne s'écroule sur moi. Cet ouvrage est au centre d'anciennes cultures en restanques et sur le terrains de mes parents subsistent des ruines d'habitations. La cuve est rectangulaire avec des murs de pierres, de 1.50 m de profondeur environ, la voûte me parait être clavée avec une arche intérieure qui semble être perpendiculaire... Cette citerne est située juste en aval d'une grande dalle calcaire entourée de restanques. Ce qui me semble original c'est que l'impluvium est une canalisation rectangulaire d'environ 10 mètre de longueur et qui abouche à l'intérieur de la cuve? Je peux voir un crochet dans la voûte restante...? Des tas de questions se bousculent... c'est passionnant. Doit-on contacter un organisme chargé de l'inventaire de ce type d'ouvrage en pierre sèche ? Ce type de construction justifie-t-elle d'une expertise en patrimoine? A qui dois je m'adresser? Notamment pour la constitution du dossier d'assurance ? Pour une restauration fidèle, à qui dois je m'adresser ? J'espère ne pas vous avoir importuné et je vous remercie par avance de vos conseils. J'ai des photos si cela vous intéresse, malheureusement, uniquement après dommage.. Nous n'avions pas pensé à le photographier avant... En vous remerciant très sincèrement, très cordialement, Agnès Salamand Aguirre Réponse, en date du 21 juillet 2011 Cher madame, Vous pouvez aussi poser votre question sur le forum de Gilles Fichou :
http://forum.lixium.fr/cgi-bin/liste.eur?iris . Des personnes ayant eu une expérience similaire à la vôtre pourront peut-être vous conseiller. 8 - Message de Cédric Giroud en date du 3 août 2012 Objet : demande de renseignement Bonjour, M. Lassure, Je souhaite avoir un conseil sur les fondations de murets de soutènement en pierre sèche. Je suis paysagiste depuis plusieurs années, pendant lesquelles j'ai pratiqué la construction de murets en pierre sèche (décoratifs pour la plupart). Expatrié, je souhaiterais continuer cette activité, car j'aime le contact avec la pierre et le travail de nos anciens. Seulement voilà, mon souci technique vient du fait que je me situe, maintenant, en zone de grand froid - trois mois de gel sans dégel puis la période de printemps avec altenance gel et dégel. À cela on peut ajouter de la neige, environ 0,70 m. Un climat un peu similaire à nos montagnes des Alpes. La seconde donnée provient du sol argileux qui bouge beaucoup, en moyenne, de près de 20 cm sur sa hauteur en sortie d'hiver (ça monte et redescend ensuite). Ma question, c'est comment va se comporter un mur en pierre sèche dans ces conditions ? Le terrain naturel porte un dénivelé de 2 m. Je souhaite créer deux murs successifs de 0,7 m et 1,3 m avec des plates-formes d'environ 3,5 m. Pour l'assise de mes murs, j'envisage de les reposer sur un lit de cailloux de 0,30 m dans un geotextile afin d'avoir un drainage et de limiter les mouvements dus au dégel au printemps. Le dimensionnement des murs serait de 0,80 m à la base et environ 0,50 en haut de mur. Je leur donnerai un fruit de 5%. Je vous remercie par avance de l'attention que vous porterez à ma demande. Cordialement, Cédric Giroud 9 - Message de Mme Annette Pezat en date du 4 septembre 2012 Objet : L'habitat en Benauge (Gironde) Je répertorie depuis plusieurs années l'habitat de ma commune d'Arbis, commune située dans l'Entre-deux-Mers et surplombée du château moyenâgeux des Benauges. Je fais le plan de chaque maison ancienne, poulailler, écurie, étable, four, moulins, etc., leur descriptif et de nombreuses photos numériques. Je n'ai pas fini ce travail de prospection inspiré très humblement de Léo Drouyn, découvrant chaque fois des particularismes étonnants. Que faire de ce travail? Or, consultant internet, je viens de quot;tomber" sur votre site et je constate avec émerveillement que je ne suis pas si éloignée que ça de vos travaux... Je souhaiterais publier, le service d'imprimerie du département d'anthropologie de la fac de médecine de Bordeaux serait prêt à le faire... à mes frais et avec une diffusion confidentielle... Seriez-vous intéressé ? Quelques conseils concernant la publication seraient les bienvenus. Espérant une réponse, acceptez mes sentiments cordiaux, Annette Pezat Réponse en date du 8 septembre 2012 10 - Message de M. Régis Baulard en date du 25 novembre 2012 Objet : Avis sur les deux cabordes de Pirey (25) À ce sujet, je vous prie de bien vouloir trouver le document pdf en pièce-jointe : Cabordes Pirey - Avis M. Lassure.pdf (~3,3 Mo) Dans l'espoir de votre réponse. Sincères salutations, Régis Baulard Renouvellement du message le 10 octobre 2012 Bonsoir M. Lassure, Je ne sais pas si vous avez reçu mon précédent message au sujet des cabordes de Pirey, dans le Doubs (document en PJ). Est il possible de se procurer vos outils méthodologiques pour l'étude de ces édifices (cités page 6 de votre livre, avec en référence un numéro de L'Architecture Vernaculaire de 2001) ? En vous remerciant par avance, sincères salutations, Régis Baulard. Réponse en date du 1er novembre 2012 Objet : Re: cabordes Pirey (25) Cher monsieur, J'ai bien reçu votre courrier et vous en remercie. Si je vous réponds avec quelque retard, c'est parce que je suis débordé en ce moment (les membres du CERAV m'envoient leurs "devoirs de vacances" pour que ceux-ci soient mis en ligne) et qu'il me fallait réfléchir à vos diverses questions. Tout d'abord, je me réjouis de ce que votre association s'intéresse à l'étude et la préservation des cabordes en pierre de Pirey et souhaite communiquer avec la nôtre. Il m'est difficile de juger d'après photo mais il me semble que la couverture de lauses de la cabane privée est en moins bon état que celle qui est communale : on y voit mousse et même plantes y prospérer. À mon avis, il faut couper les arbres qui encadrent l'édifice car ils en "pourrissent" la couverture calcaire de leurs feuilles mortes. Certaines lauses de la couverture de la cabane publique semblent être descellées, peut-être ne faut-il qu'une intervention légère sur la toiture : remise en place des lauses ayant glissé, remplacement des lauses abîmées. J'ai peur que la construction d'une murette en pierres maçonnées au mortier sur le devant de la cabane n'emprisonne l'humidité dans le talus qu'elle soutient. Seul un artisan spécialiste des cabanes voûtées en pierre sèche sera en mesure de faire un bilan de l'état de ces édifices. Peut-être pourriez-vous prendre contact avec M. Loys Ginoul (rue du Manchot - 26770 TAULIGNAN - courriel: pierreseche[at]gmail.com), qui est dans ce cas. Concernant le fameux "héritage", je n'ai fait que recopier l'article de Patrick Blandin paru dans la revue Les monuments historiques en 1978. Cet article ne comportait pas, malheureusement, la description, tout à fait éclairante, parue dans la revue Barbizier de 1961 et que vous avez eu l'amabilité de me communiquer. Pour citer Les M. H. : "La technique de construction de ces édicules s'est perpétuée et si leur allure les apparente au phénomène gaulois, ils sont plus récents. Le prince de Condé en occupa un lors de sa première attaque de Besançon, 'ce povre eritaige en fut tout defect'." Cette assimilation de l' "eritaige" à la caborde m'avait d'ailleurs laissé incrédule car une cabane à voûte en pierre est difficilement modifiable. J'en avais déduit, pour qu'une telle chose soit possible, que la caborde-eritaige était d'un autre matériau que la pierre. A propos de la "Systématique morphologique et terminologique des cabanes en pierre sèche", elle est en ligne sur le site pierreseche.com à l'adresse http://www.pierreseche.com/systematique_into.html. Avec mes sentiments très cordiaux, Christian Lassure Nouveau message de M. Régis Baulard en date du ? Monsieur Lassure, bonsoir, Je vous remercie de m'avoir répondu au sujet des cabordes de Pirey. Je vous remercie d'autant plus que votre réponse est très précise et argumentée. Si j'ai tardé à vous remercier, je dois vous avouez que c'est parce que j'avais encore quelques remarques à formuler. Tout d'abord, je vais soumettre à notre association l'opportunité d'un avis technique auprès de M. Ginoul. Ensuite, si j'ai émis quelques remarques bibliographiques sur l'histoire du « pôvre eritaige » (à prononcer avec l'accent franc-comtois évidemment), ce n'était certainement pas pour vous être désobligeant mais seulement parce ces remarques prouvent que les travaux régionaux sur ce thème ne sont finalement pas terminés. Pour preuve, les références bibliographiques se suivent en se ressemblant et finissent invariablement par « l'étude de ces édifices restent à faire ». D'ailleurs, après avoir relu la bibliographie régionale sur le sujet, et après avoir lu ce que vous écrivez sur l'étymologie du mot « caborde », je crois retrouver le problème récurrent que vous décrivez : tous les auteurs (y compris les plus fiables) utilisent le terme générique et ambivalent de « cabordes » pour désigner, sans bien le différencier, le bâti « historique » (c'est-à-dire retrouvé dans les documents d'archives ou les cadastres) et le bâti « existant », à savoir une douzaine d'édifices circulaires issus des techniques de constructions à pierre sèche, autour de Besançon. S'ensuivent des essais de systématisations et de datations approximatifs, les « cabordes historiques » (en fait tout type de baraquement carré, rectangulaire ou rond, en bois ou en pierre, dont on ne sait pas grand chose) étant plus ou moins confondues avec les « cabordes existantes ». De plus, toutes ces sources documentaires restent régionalo-centriques ; je n'ai par exemple jamais vu vos travaux en références (!). Il me semble qu'il serait intéressant de mettre en perspective l'histoire et la construction des édifices locaux avec ceux répartis dans le reste du pays, en général mieux étudiées et connus (et particulièrement bien photographiés dans votre livre). Par exemple, les phénomène de parcellisation de grosses propriétés et les politiques de défrichement que vous décrivez au début du XIXe siècle dans le midi ne me paraissent pas s'appliquer à notre ancien « vignoble bisontin », qui fut de tout temps surexploité, multi-micro-parcellisé entre quelques rares propriétaires-vignerons et une grosse majorité de propriétaires, seigneurs laïques ou ecclésiastiques avant le révolution, puis « messieurs de la ville » ensuite. Comment établir une relation entre les constructions bisontines et les édifices du Quercy ou du Vaucluse ? Existe-t-il des analogies avec les cabanes de la côte chalonnaise plus proches ? N'y-a-t-il aucun autre lien que le travail du sol, reproduit partout de façon identique...? Je vais essayer de relancer des travaux avec l'aide des associations locales motivées et, si vous le permettez, avec votre aide et celle du CERAV. Dans l'attente de votre réponse (quand vous en aurez le temps, nous ne sommes pas aux pièces), je vous prie de croire, Monsieur, en l'assurance de mes plus cordiales salutations. PS = en pièce jointe, quelques paysages lithiques franc-comtois : Pirey
11 - Message d'Anastasia Frémiot en date du 16 janvier 2013 Objet : puits à balancier des landes de Gascogne Bonjour, Réponse en date du 24 janvier 2013 Chère Anastasia Frémiot, Pour imprimer, passer en mode paysage © CERAV 2011 2010 2009 2008 2007 (2) 2007 (1) 2006 (2) 2006 (1) 2005 (2) 2005 (1) 2004 2003 2002 2001 2000
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