NOUVELLES DU MONDE
DE L'ARCHITECTURE DE PIERRE SÈCHE
Année 2025

NEWS FROM
THE DRY STONE ARCHITECTURE SCENE
Year 2025

 

1 - Colloque « Savoir-faire lié au parfum et à l'art de la construction en pierre sèche

 

2 - À paraître : Sur la trace des rocailleurs, par Jean-Marc Caron

 

3 - Paru : Compte rendu de restauration de l'écluse et des chemins de l'eau du Jardin Clos du Pré Nouveau à Arcens, Ardèche, juin-juillet 2021, par Louis Cagin et Lise Madec

 

4 - Vient de paraître : Edoardo Micati, Luoghi, fatti e gente delle mie montagne, Arte della stampa Srl - Oasi Vivai Piante, 166 p. (Sergio Gnesda)

 

5 - Appel à communications pour le 13e congrès international de la Société d’Archéologie Médiévale, Moderne et Contemporaine (SAMMC) à Rennes, les 28-31 mai 2026 : POUR UNE ARCHÉOLOGIE DE L’HABITAT VERNACULAIRE (XVe-XXe siècle)

 

 

1 - Colloque « Savoir-faire lié au parfum et à l'art de la construction en pierre sèche »

L'art de la construction à sec (art étant pris au sens traditionnel de « technique ») a été lié ces trois derniers siècles à divers domaines (création de champs, d'enclos, de soutènements, d'abris, etc.) et, partant, à la production de biens essentiellement agricoles, pastoraux, apicoles, horticoles  (geniers à céréales, séchoirs de fruits, protection de ruches par exemple).Il semblerait qu'on puisse y ajouter la production de parfum, du moins c'est ce montrera ce olloque.

Pour tous renseignements, consulter l'adresse suivante :

https://www.parc-prealpesdazur.fr/actualite/journees-de-la-pierre-au-parfum/

 

 

2 - À paraître : Sur la trace des rocailleurs, par Jean-Marc Caron

 

Membre-corresondant de longue date du CERAV, Jean-Marc Caron nous informe de la parution chez L'Harmattan, de son livre :sur l'art de la rocaille, dont il a évoqué l'histoire en 2020 dans la revue L'Architecture vernaculaire en ligne. On trouvera ci-dessous le facsimilé des pages 1 et 4 de couverture.de ce livre.

 

 

 

3 - Paru : Compte rendu de restauration de l'écluse et des chemins de l'eau du Jardin Clos du Pré Nouveau à Arcens, Ardèche, juin-juillet 2021, par Louis Cagin et Lise Madec

 

Un type d'aménagement en pierre sèche susceptible d'être remis en état par des murailleurs nous est indiqué par Louis Cagin et Lise Madec (association  https://unepierresurlautre.org/ )

 

Pour lire le compte rendu, cliquer ici..(fichier pdf)

 

4 - Vient de paraître : Edoardo Micati, Luoghi, fatti e gente delle mie montagne, Arte della stampa Srl - Oasi Vivai Piante, 166 p.

 



 

Dans ce nouveau livre, Edoardo Micati évoque les faits, les personnages et les paysages dont « ses » montagnes abruziennes sont riches.

Il explore divers aspects de la région en combinant la description des édifices avec des informations techniques, des sources historiques et les témoignages des personnes qu'il a interrogées.


Les textes retracent sa longue carrière de guide touristique, qui se poursuit encore aujourd'hui.

Le livre comporte une dizaine de descriptions portant sur quatre ou cinq sites importants, chacune incluant un chapitre consacré à une personnalité rencontrée.

En fin d’ouvrage, quatre textes mettent en scène des « animaux fantastiques » typiques des sociétés paysannes modestes.

Sergio Gnesda

Pour obtenir un exemplaire gratuit, écrire à l’adresse edoardomicati@gmail.com
 

5 - APPEL À COMMUNICATIONS pour le 13e congrès international de la Société d’Archéologie médiévale, moderne et contemporaine (SAMMC) à Rennes, les 28-31 mai 2026

 


 

POUR UNE ARCHÉOLOGIE DE L’HABITAT VERNACULAIRE (XVe-XXe siècle)


Dans les dernières années de la décennie 1970, sous l’influence des « vernacular architecture studies » anglo-saxonnes, s’impose progressivement en France l’adjectif « vernaculaire » pour désigner l’habitat que l’on appelait auparavant « traditionnel ».
La définition que l’on peut donner de l’habitat vernaculaire, en s’appuyant sur les réflexions de chercheurs comme Bernard Rudofsky aux États-Unis, Eric Mercer au Royaume-Uni, Christian Lassure en France ou encore François Varin au Canada, est celle d’un habitat d’essence populaire, fruit d’un contexte géographique, social, économique et culturel spécifique, adoptant des modèles architecturaux, des techniques constructives et des matériaux très largement locaux, tout en pouvant assimiler avec le temps des influences extérieures en fonction de l’émergence de besoins nouveaux.


Le concept d’« habitat vernaculaire » s’est utilement substitué au concept d’« habitat traditionnel », prenant ainsi nettement mieux en charge la dimension d’évolution chronologique contre la dimension fixiste et fondamentalement achronique du « traditionnel », même si l’adjectif « vernaculaire » n’est pas exempt lui-même de difficultés, prenant ainsi mal en compte les questions de distinction sociale : l’habitat vernaculaire est l’habitat du plus grand nombre, celui des strates sociales inférieures ou médianes, mais cela n’exclut pas du tout l’existence d’une hiérarchie au sein de celles-ci.


Il faut toutefois bien constater que la notion d’habitat vernaculaire a été essentiellement mobilisée dans les travaux des chercheurs – particulièrement en France – pour désigner, de manière réductrice, l’habitat rural ancien encore visible en élévation au XXe siècle, et particulièrement le bâti agricole qui s’est vu progressivement désigné comme le constituant essentiel de l’architecture dite « vernaculaire ». Si quantitativement, au regard de la proportion de la population que représentaient les paysans (dans toute leur diversité) en Europe jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, l’habitat paysan peut en effet jouer ce rôle, il est loin d’en être le seul représentant et c’est notamment ce que souhaiterait montrer ce congrès.


Le bâti vernaculaire, dans toute sa variété donc et bien que longtemps délaissé par les savants, représente en volume l’immense majorité des constructions produites dans les sociétés préindustrielles et même des premiers temps industriels. Formant un ensemble initialement considérable, ce bâti est néanmoins très fragile et sujet à une érosion constante qui s’est accélérée depuis la seconde moitié du XXe siècle. La « rénovation » de celui-ci, souvent avec des matériaux inadaptés, et sa transformation, plus ou moins hasardeuse, pour répondre aux aspirations des modes de vie contemporains, font peser une menace continue sur son intégrité et sa préservation.


Souhaitant résolument s’inscrire dans le domaine de l’archéologie des périodes moderne et contemporaine, notre congrès réduira à sa période chronologique la plus récente le champ d’études en se concentrant sur les XVe-XIXe siècles, de la toute fin des temps médiévaux aux premières années du XXe siècle.


Alors que la France s’était pourtant dotée dès le début des années 1960 d’outils pour investir ce domaine, avec la création du service de l’Inventaire général des richesses artistiques de la France, les archéologues – tardivement par rapport à certains pays d’Europe septentrionale et à l’Amérique du Nord – ne se sont intéressés au bâti vernaculaire d’époque moderne et subcontemporaine que depuis la fin du XXe siècle, en lien étroit avec l’essor exponentiel de l’archéologie préventive, qui a entraîné un renouvellement continu des champs d’investigation de l’archéologie.


Si la notion d’« habitat vernaculaire » évoque spontanément le monde rural, le congrès ambitionne de sortir de ce champ restreint (pour autant loin d’être si étudié que cela) pour aborder aussi la question dans le monde urbain (des bourgs aux villes) et les espaces périurbains, les faubourgs par exemple dont l’importance n’a cessé de s’amplifier de la fin du Moyen Âge à nos jours.


Les angles d’approche pourront être tout à fait divers et croisés,

 

- autour de la question des conditions naturelles de la construction (qui, sans tomber dans le déterminisme géographique, ne doivent pas être exclues comme cela a pu être parfois le cas) ;


- la question des contraintes sociales et économiques de la construction ;


- la question de la condition des occupants/constructeurs : de l’habitat des populations serviles des domaines coloniaux à celui des petites élites locales laïques (officiers seigneuriaux, notaires, médecins…) ou religieuses (prêtres, petites communautés de type béguinage ou béates), en passant par celui des paysans, des artisans et commerçants ou des ouvriers des villes ;


- la question du plan et des élévations (en ayant en tête l’aspect dynamique du bâti et de ses possibles évolutions, notamment fonctionnelles) ;


- la question des matériaux, de leur disponibilité et de leur mise en œuvre dans le premier et le second œuvre du bâtiment ;


-· la question de l’influence des architectures savantes et de prestige sur les architectures de moindre rang ainsi que celle de la diffusion des modèles ;


- la question du lexique de la construction, en lien avec la diversité des vocabulaires liés à ces architectures ;


- l’historiographie d’un ou plusieurs aspects du sujet.


L’aire géographique d’étude intégrera la France métropolitaine et les départements et régions d’outre-mer français (avec les spécificités propres à des espaces ayant connu pour nombre d’entre eux un mode d’exploitation colonial) ainsi que l’Europe. Les études pourront porter sur l’habitat individuel, mais aussi sur l’habitat collectif comme les immeubles à logements urbains.
Si sont attendues avant tout des propositions à dimension archéologique, les organisateurs du congrès souhaitent valoriser aussi les propositions émanant de chercheurs d’autres horizons disciplinaires, si possible en collaboration avec des archéologues, et pouvant par leur contribution aider à la réflexion de ces mêmes archéologues.


Le congrès se conclura par une table ronde autour des questions d’étude, de conservation, de restauration et de valorisation du patrimoine bâti vernaculaire

.

INFORMATIONS PRATIQUES


Les contributions au congrès se feront en français ou en anglais, soit sous la forme d’une communication orale de 20 mn, soit celle d’un poster.


Pour les communications orales, les propositions sont à envoyer pour le 30 juin 2025, dernier délai impératif. Elles devront être accompagnées d’un titre, d’un résumé de 3000 signes maximum, d’une courte bibliographie du ou des auteur(e)s en lien avec le sujet ainsi que d’une courte présentation biographique.


Pour les posters, les propositions sont à envoyer aussi pour le 30 juin 2025, dernier délai impératif. Elles devront être accompagnées d’un titre et d’un résumé de 2000 signes maximum, ainsi que d’une courte présentation biographique.


Les propositions de communication et de poster sont à déposer sur le site suivant : https://forms.gle/MenbVCKirdf6wPUS9

Attention, merci de nommer impérativement les fichiers déposés comme suit :
NOM du ou des auteur(e)s_POSTER
NOM du ou des auteur(e)s_COMMUNICATION

(Les frais de déplacement et d’hébergement des intervenants au congrès ne seront pas pris en charge. La SAMMC pourra toutefois, sur demande, aider les intervenants non statutaires)

Pour toute précision, contact : sammc-congres-rennes2026@univ-rennes2 ou pierre-yves.laffont@univ-rennes2.fr

Comité scientifique


Jean-Yves DUFOUR (Inrap, ArScan-UMR 7041)
Arielle GÉVAUDAN-DENÉ (ministère de la Culture, Service de l’archéologie de Martinique)
David GUCKER (Office cantonal d’archéologie du Valais, Suisse)
Bénédicte GUILLOT (Inrap, Craham-UMR 6273)
Ivan LAFARGE (Institut national du patrimoine)
Pierre-Yves LAFFONT (Université Rennes 2, CReAAH-UMR 6566)
Élisabeth LOIR-MONGAZON (Inventaire de la Région Bretagne)
Nicolas PAYRAUD (ministère de la Culture, Service régional de l’archéologie Grand Est)
Marie VERBEEK (Agence wallonne du patrimoine, Belgique)

Comité d'organisation


Léna DENAIN (Université Rennes 2, CReAAH-UMR 6566)
Bénédicte GUILLOT (Inrap, Craham-UMR 6273, SAMMC)
Ivan LAFARGE (Institut national du patrimoine, SAMMC)
Pierre-Yves LAFFONT (Université Rennes 2, CReAAH-UMR 6566, SAMMC)
Nathalie MOLINA (Inrap, LA3M-UMR 7298, SAMMC)
Fabienne RAVOIRE (Inrap, LA3M-UMR 7298, SAMMC)

 

 

Version en anglais

 


CALL FOR PAPERS - 13th international congress of the Society for Medieval, Modern and Contemporary Archaeology

at Rennes (France), May 28-31, 2026 :

 

 

ARCHAEOLOGY OF VERNACULAR BUILDINGS (15th-20th c.)

 

 In the final years of the 1970s, under the influence of Anglo-Saxon "vernacular architecture studies", the adjective "vernacular" gradually came to be used in France to designate housing that had previously been called "traditional".

 

Based on the work of researchers such as Bernard Rudofsky in the U.S., Eric Mercer in the U.K., Christian Lassure in France and François Varin in Canada, the definition of vernacular housing is that a building of popular essence, the fruit of a specific geographical, social, economic and cultural context, adopting largely local architectural models, construction techniques and materials, while being able to assimilate external influences over time as new needs emerge.

 

The concept of "vernacular buildings" has usefully replaced the concept of "traditional buildings", thus taking much better account of the dimension of chronological evolution as opposed to the fixist and fundamentally achronic dimension of "traditional", even if the adjective "vernacular" is not itself free of difficulties, taking little account of questions of social distinction: the vernacular housing is the housing of the majority, that of the lower or median social strata, but this does not at all exclude the existence of a hierarchy within them.

 

It has to be said, however, that the notion of "vernacular housing" has essentially been used by researchers - particularly in France - to designate, in a reductive manner, the old rural buildings still visible in elevation in the 20th century, and particularly the peasant buildings that have gradually come to be considered the essential component of so-called "vernacular" architecture. While in quantitative terms, given the proportion of the population represented by peasants (in all their diversity) in Europe up until the Second World War, the peasant dwelling may indeed play this role, it is far from being the only representative, and it is what this conference aims to show.

 

Although long neglected by scholars, vernacular buildings, in all their variety, represent the vast majority of buildings produced in pre-industrial and even early industrial societies. Initially mass product, these buildings are nonetheless extremely fragile and subject to constant erosion, which has accelerated since the second half of the 20th century. Renovation, often using unsuitable materials, and transformation, more or less haphazardly, to meet the aspirations of contemporary lifestyles, pose a continuing threat to its integrity and preservation.

 

With a view to exploring the field of post-medieval archaeology, our conference will narrow the scope of its studies to the most recent period, focusing on the 15th to 19th centuries, from the very end of the Middle Ages to the early years of the 20th century.

 

Even if in the early 1960s, with the creation of the Inventaire général des richesses artistiques de la France, France had already equipped itself with the tools to invest in this field, French archaeologists - a latecomer compared to some northern European countries and North America - have only taken an interest in modern and sub-contemporary vernacular buildings since the end of the 20th century, in close connection with the exponential growth of preventive archaeology, which has led to a continuous renewal of archaeological fields of investigation.

 

While the notion of "vernacular building" spontaneously conjures up images of the rural world, the conference aims to move beyond this restricted field (which is far from being as studied as it is) to address the issue in the urban world (from market towns to cities) and peri-urban spaces, such as suburbs, whose importance has grown steadily from the end of the Middle Ages to the present day.

 

The angles of approach can be quite diverse and intersecting, around:

 

·- the question of the natural conditions of construction (which, without falling into geographical determinism, must not be excluded as has sometimes been the case);

 

·- the question of the social and economic constraints of construction;

 

· - the condition of the occupants/builders: from the housing of the servile populations of colonial estates to that of small local elites, whether secular (seigniorial officers, notaries, doctors, etc.) or religious (priests, beguinage…), via that of peasants, craftsmen and shopkeepers or city workers;

 

·- the question of plan and elevation (bearing in mind the dynamic aspect of the building and its possible evolution, particularly in terms of function);

 

- the question of materials, their availability and their use;

 

- the question of the influence of scholarly and prestigious architecture on lesser-ranked architecture, and the dissemination of models;

 

·- the question of the lexicon of construction, in relation to the diversity of vocabularies linked to these architectures;

 

·- the historiography of one or more aspects of the subject.

 

The geographical area of study will include mainland France and the French overseas regions (with the specific features of these areas, many of which were colonial), as well as Europe. Studies may focus on individual housing, but also on collective housing such as urban apartment buildings.

 

Although proposals with an archaeological dimension are primarily expected, the congress organizers also wish to encourage proposals from researchers in other disciplines, if possible in collaboration with archaeologists, whose contributions could help these same archaeologists in their thinking.

 

The congress will conclude with a round-table discussion on the study, conservation, restoration and enhancement of vernacular-built heritage.

  

 

Practical information

 

Contributions to the congress will be made in French or English, either in the form of a 20 mn oral presentation or a poster.

 

Proposals for oral presentations must be received by June 30, 2025, the deadline for submissions. They should be accompanied by a title, an abstract of no more than 3,000 characters, a short bibliography of the author(s) and a short biographical sketch.

 

Proposals for posters must also be submitted by June 30, 2025. They should be accompanied by a title and an abstract of no more than 2000 characters, as well as a short biographical sketch.

 

Proposals for papers and posters must be submitted online at: https://forms.gle/MenbVCKirdf6wPUS9

 

Please name the files as follows:

NAME of author(s)_POSTER

NAME of author(s)_COMMUNICATION

 

(Travel and accommodation expenses for speakers at the conference will not be covered. However, the SAMMC may, upon request, assist non-statutory speakers)

 

For further information, contact: sammc-congres-rennes2026@univ-rennes2 or pierre-yves.laffont@univ-rennes2.fr

 

 

 

Scientific Committee

 

Jean-Yves Dufour (Inrap, ArScan-UMR 7041)

Arielle Gévaudan-Dené (Ministère de la Culture, Service de l’archéologie de Martinique)

David Gucker (Office cantonal d’archéologie du Valais, Suisse)

Bénédicte Guillot (Inrap, Craham-UMR 6273)

Ivan Lafarge (Institut national du patrimoine)

Pierre-Yves Laffont (Université Rennes 2, CReAAH-UMR 6566)

Élisabeth Loir-Mongazon (Inventaire de la Région Bretagne)

Nicolas Payraud (Ministère de la Culture, Service régional de l’archéologie Grand Est)

Marie Verbeek (Agence wallonne du patrimoine, Belgique)

 

Organising committee

 

Léna Denain (Université Rennes 2, CReAAH-UMR 6566)

Bénédicte Guillot (Inrap, Craham-UMR 6273, SAMMC)

Ivan Lafarge (Institut national du patrimoine, SAMMC)

Pierre-Yves Laffont (Université Rennes 2, CReAAH-UMR 6566, SAMMC)

Nathalie Molina (Inrap, LA3M-UMR 7298, SAMMC)

Fabienne Ravoire (Inrap, LA3M-UMR 7298, SAMMC)

 


 

© CERAV
Le 16 mai 2025

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